Voorl'ik, le dieu de la Rage
Attributions: La rage primale, absolue et destructrice, Voorl’ik est fait de passions violentes, il insuffle la puissance, la résistance et la colère, mais aussi une vision du combat emprunte d’honneur et de respect pour la force brut.
Hurlant et fulminant, voilà comment est le sauvage Voorl’ik, le dieu de la rage
primale et incontrôlable, ses adeptes sont de puissants guerriers, instables, irritables et
violents, mais Voorl’ik donne une force phénoménale à ceux qui partagent sa soif de
combattre.
L’Incarna de Voorl’ik est Viorrl’à, la reine hurlante, elle hante les chants de bataille afin d’éradiquer ceux qui osent provoquer la colère de Voorl’ik. Viorrl’à aime voyager avec les tribus de barbares des terres du nord, elle mange et vit avec eux sans se différencier d’une autre barbare, elle laisse la direction du culte à son chapelain et ne s’occupe presque jamais des affaires et de la politique.
Son chapelain est Mitrios, un barbare avec qui Viorrl’à a souvent combattu coude à coude, c’est un homme puissant et violent, capable de se mettre dans des colères folles et destructrices. Cela dit Mitrios est aussi un homme avisé et doté d’une certaine sagesse, il sait qu’être le chapelain des adeptes de Voorl’ik est une tâche ardue et improbable mais il sait que son dieu ne le laissera jamais tomber.
Naissance du culte
Il n’y eu pas de logique à l’entrée en guerre du culte de la rage, seul la passion
pour la violence et la rage motiva le dieu Voorl’ik à choisir un Incarna pour aller à
l’encontre des autres cultes. Dirigé par l’Incarna le plus étrange de tous, la reine
hurlante, et du chapelain le plus improbable, Mitrios, le culte se jeta à corps perdu dans
une guerre dont l’aspect politique et religieux leur échappaient totalement !
Viorrl'à, la Reine Hurlante
L’Incarna de Voorl’ik est Viorrl’à, la reine hurlante, elle hante les chants de
bataille afin d’éradiquer ceux qui osent provoquer la colère de Voorl’ik. Viorrl’à aime
voyager avec les tribus de barbares des terres du nord, elle mange et vit avec eux sans se
différencier d’une autre barbare, elle laisse la direction du culte à son chapelain et ne
s’occupe presque jamais des affaires et de la politique.
Lorsque Voorl’ik dû choisir un Incarna il fit preuve d’un calme incroyable. Il fit le
tour de tous les chamans et de tous les devins et annonça que bientôt devrait se passer un
rassemblement des plus grands guerriers du continent. Puis il patienta et laissa les choses
se faire d’elle-même. Et plusieurs centaines de guerriers se rassemblèrent dans la plaine
des trois souffles là où le dieu avait fixé le rendez-vous. Là la puissante voix de Voorl’ik
leur annonça la seule et unique règle de son épreuve : Un seul d’entre eux quitterait la
plaine en vie…
Les puissants guerriers s’entre tuèrent pendant des heures sans règle ni logique,
des alliances se formaient parfois pour quelques poignées de secondes et se brisaient
aussitôt. Le sol ne fut plus qu’une énorme flaque de boue rouge de sang et la violence
prit ce jour-là des proportions incroyable…
Lorsque le combat cessa enfin, il ne restait qu’une seule et unique silhouette
encore debout, couverte de plaies et ruisselante de sang. Une femme des plaines du sud,
la peau mate et les cheveux noirs. Ses poignets enserrés par des chaînes brisées et son dos
recouvert de traces de fouet. Une esclave chétive à demi-morte hurlant de rage au milieu
du charnier.
Devant cette vision le dieu Voorl’ik fut incroyablement surpris… Comment
quelqu’un de si petit et insignifiant pouvait avoir vaincu tant de guerrier, c’était
impossible…
Il regarda dans ses yeux et dans son coeur et vit une rage presque aussi grande que
la sienne. Il prit alors sa décision et fit d’elle le réceptacle de son essence divine.
Seulement lorsque toute la rage du dieu se mélangea à la sienne, la jeune esclave perdit
l’usage de la parole…
Vivre selon les préceptes de Voorl'ik
La vie au sein du culte de la rage est incroyablement simple : soit fort et libre, ne
renonce pas au combat, sert ton dieu avec fierté, et respecte les guerriers quelque soit
leurs cultes.
Simple à comprendre mais difficile à tenir…
Les adeptes du dieu de la rage vivent tous sur la plaine des trois souffles la moitié
de l’année, ensuite ils retournent à une vie nomade en tribus turbulentes. Le culte vit de
la chasse, de l’élevage et de l’agriculture, ils commercent également avec les grandes
villes de l’alliance, principalement le commerce de peaux et d’alcools. La capitale est la
ville nomade d’Ulvur, une ville faite de tentes et de petites constructions de bois. Là
réside souvent le chapelain Mitrios et la puissante Reine Hurlante.
Le Chapelain Mitrios
Son chapelain est Mitrios, un barbare avec qui Viorrl’à a souvent combattu coude
à coude, c’est un homme puissant et violent, capable de se mettre dans des colères folles
et destructrices. Cela dit Mitrios est aussi un homme avisé et doté d’une certaine sagesse,
il sait qu’être le chapelain des adeptes de Voorl’ik est une tâche ardue et improbable mais
il sait que son dieu ne le laissera jamais tomber.
Le plus improbable des chapelains dit-on, comment faire obéir tant de guerriers
indisciplinés ? En étant le plus fort bien sur !
Et c’est là-dessus que Mitrios base son commandement. Il est le plus fort des guerriers de
Voorl’ik.
Lors d’une joute barbare le jeune Mitrios tomba sur un adversaire de choix, la
Reine Hurlante. Bien que l’issue du combat fut certaine, il n’hésita pas un seul instant et
se lança sans réserve dans la bataille. Son coup d’éclat fut de toucher la joue de La reine
ce jour-là.
La presque déesse fut sous le charme du jeune guerrier qui se tenait devant elle et
posa ses armes en signe de respect pour lui. Ce fut si inattendu que le silence gagna
l’arène. Mitrios s’inclina à son tour devant la divine guerrière de Voorl’ik. Elle lui offrait l’honneur de ne pas perdre un combat qu’il n’aurait pu gagner.
Lorsque Vior’la quitta le village où vivait Mitrios, elle s’arrêta devant la demeure
du jeune barbare et attendit qu’il fut prêt, il prépara en hâte son bagage et saluant ses
parents il prit la route sans un mot avec la Reine. Elle lui apprit beaucoup, toujours sans
un mot, et il devint un puissant guerrier.
Dix ans plus tard elle décida d’en faire le nouveau Chapelain car l’ancien venait de
rendre ses armes se sachant trop vieux. Mitrios devint alors le serviteur de la rage et le
culte prit une nouvelle direction : la guerre contre Aarh…
La vie commune avec la Nature
Depuis de très nombreuses années, les adeptes de Voorl'ik vivent au sein de même tribu avec les enfants de Syrvana. En effet, ils partagent à la fois leurs lieux de vie et leurs territoires de chasse, mais également une grande partie de leurs légendes et de leurs valeurs. Ils se considèrent comme frères et si Voorl'ik est leur Père et celui vers qui vont leurs prières, Syrvana a pris peu à peu sa place de Mère.
Les Factions de la Rage
Les guerriers:
La plus respectée des vertus de Voorl’ik est la guerre et eux vivent pour cela, les
guerriers sont composés de tous ceux qui veulent en être, la hiérarchie y est simpliste et
la stratégie minimale. Berserkers, danseurs de guerre et guerriers sacrés s’y rejoignent
simplement. Ils sont commun à Voorl’ik et à Syrvana.
Les chamans:
Les énergies de la rage primale donne des résultats étranges comme le
chamanisme sauvage. Il n’y a guère d’académie pour eux, le savoir est transmis
oralement des vieux aux jeunes et rien de plus. Ils sont commun à Voorl’ik et à Syrvana.
Les Berserkers:
Composés des plus puissants guerriers de Voorl’ik, les berserkers sont craint par
leurs adversaires car leur sauvagerie n’a d’égal que leur résistance. Ils sont emprunts du
pouvoir du dieu de la rage lui-même et il est courant qu’ils ne distinguent même plus
alliés et ennemis !
Les monolithes:
Au-delà de la rage il y a le calme avant la tempête et le silence après la foudre. Ainsi sont les monolithes.
Ce sont de puissantes unités de contrôle du champ de bataille, capables de résister à la plupart des dégâts sans s'effondrer. C'est eux les premiers au combat et les derniers à en sortir.
Les civils:
Il n’y a pas de civil chez Voorl’ik car chaque cultiste peut prendre les armes, mais
en période de paix tous prennent un rôle civil afin de pourvoir au besoin du culte.
Litanie
Voorl’ik n’a pas de litanie au sens propre du terme mais un hurlement puissant est
poussé chaque jour à onze heure par l’ensemble de ses adeptes réunis. Ce cri est un
rappel pour tous de la rage primale de Voorl’ik et de la nature primale de Syrvana.
Loi du culte: les adeptes de Voorl’ik ne peuvent jamais refuser le combat, tout
manquement à cette loi sera motif à être rejeté du culte, la désertion et la fuite sont aussi considérées comme des refus de combattre, Viorrl’à peut même aller jusqu’à tuer les
fuyards sans aucune forme de procès…